sculptures contemporaines

du sculpteur MPCEM

le jardin

Le besoin de creer des jardins, de faconner la nature en espaces ordonnés et sereins, nous relie aux anciennes civilisations : sumer, l’Egypte, la Grèce, Rome. Qu’il soit destiné à la culture potagère, à être un lieu de contemplation, ou simplement à satisfaire le plaisir de cultiver, le jardin est une scène ou se joue une pièce d’un perpetuel optimiste. Les projets des jardiniers, nourris de promesses, sont souvent contrecarrés par l’imprévisible nature, mais goûter les couleurs, les odeurs, voir pousser – en fait, sentir la vie – est une large récompense.

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Alors que nos maisons évoluent par étapes distinctes et contrôlés, suivant nos moyen et les circonstances, le jardin, lui, est en perpetuel devenir. Les jardins, lieu dynamiques à trois dimensions, déjouent nos tentativnet pour leur imposezr des desseins finis ; pourtant, cest laque souvent nous trouvons l’harmonie, par leur capacité à eveiller en nous toute une gamme d’émotions. Des enfants qui jouent dehorsdemontrent comment, intuitivement , nous adaptons le paysage naturel. Ils escaladent les arbres, construisent des barrages sur les ruisseaux, aménagent des cachettes, observent la lente progression d’une coccinelles le long d’une allée.

Les jardins sont un forume où se combienent art, science et nature.

Agencer un espace exterieur, c’est unir les éléments naturels – terre , roche, eaux et plantes – à des materiaux tels que la pieere, le bois, lma brique, le béton, le métal et le verre, en équilibrant échelle et proportion, accent et contraste, rythme et mouvement.

Par là, le jardin, objet de nos rêbves et de nos soucis, devient l’expression extraordinaire de notre relation avec le monde naturel.

Ecrivain jardinier britannique James Hibberd (1825-1890)

Il est peut etre vrai, comme nous le croyons souvent, que la forme naturelle d’un arbre soit la plus belle que cet arbre puisse obtenir, mais il peut arriver que nous ne desirions pas la plus belle forme, mais celle de notre propre créations, de notre ingenuité.

Les multiples facettes du jardin se prêtent particulièrement bien à la mise en valeur d’oeuvres d’art. Qu’ils soient acquis apurès d’artistes confirmés, ou créés de ses propres mains, ces éléments sculptés le métal, le bois ou la pierre méritent une place de choix.

Deux possibilités s’offrent alors à l’amateur d’art désireux de profiter de ses tresors. La première consite à installer des alcôves  et des fonds de verdures dans differents points judicieusement choisis pour être visibles depuis le plus grand nombre d’endroits du jardin comme de l’habitation.

On choisira par exemple, le point de mire d’une échappée sur le paysage , l’axe d’une allée ou le centre d’une articulation essentielle de l’aménagement . Chaque niche accueillera une oeuvre d’art et toute la difficulté reside dans le fait qu’il faut savamment les repartir pour éviter tout effet de surchage.

sculptures contemporaines
oeuvres contemporaines

La seconde possibilité est plus discrète puisque les oeuvres d’art preedront place dans des endroits un peu en retrait des vues principales du jardin?. ainsi, elles ne se devoileront pas au premier coup d’oeil et, pour les découvrir, il faut déambuler dans le jardin.

Dans les deux cas, pensez à les fixer sur un socle légérement surelevé pour ne pas les endommager lors de la tonte de la pelouse et à les éloigner sufisamment des haies et arbustes qui les entourent pour faciliter les interventions comme la taille. Et n’oubliez pas d’établir une étroite et subtile relation avec les végetaux ou les materiaux situés à proximité. Une harmonie de tons, une analogie d’aspect avec les silhouettes des plantes voisines ou une similitude de matières sont autant de petits détails qui contribueront à réussir la mise en valeur de ces éléments hors du commun.

L’emplacement d’une sculpture est crucial. Votre jardinnest peut-être déjà riche en plantes et autres éléments qui définissent sa personnalité , or toute sculpture est en interaction avec ce qui l’entoure. Pour que sa silhouette se détache nettement, offrez lui l’arrière-plan vert sombre d’une haie d’if ou d’un mur couvert de lierre. En tant que point d’attraction, une sculpture sera plus appréciée si elle est isolée. Une seule pièce idéalement située et choisie avec soin aura toujours plus d’impact qu’une kyrielle d’objets disposés au hasard. En revanche, vous pouvez associer une série de sculptures pour raconter une histoire .

Un socle sera nécessaire selon les cas. Certaines pièces peuvent être directement posé sur l’herbe ou le dallage, mais les plus massives auront besoin d’un base sobre et renforcée. Choissisez un materiau qui completent la sculpture. La pierre ou le béton lisse conviennent mieux, en général, qu’une surface décorée ou texturée car ils sont neutrent.

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La sculpture est doué d’une vie autonome. Comme tout être vivant, sa croissance fut organique. On peut la voir, la toucher, elle modifie l’espace qu’elle occupe et qui l’entoure.

Dans le meilleur des cas, elle possède une âme qui rayonne autour d’elle et qui rend compte de la fonction magique qui lui a souvent été attribuée. Le fait qu’elle fasse appel à notre sens tactie, profondement enraciné dans la psyché, explique aussi, en partie, la fascination dont elle est l’objet. Cette fascination n’est-elle pas également suscuté par l’inévitable méditation sur la fuite du temps qu’implique sa contemplation : par l’évocation de la lenteur de sa maturation et les rêveries associées à l’ancienneté du matriau ?

Le mouvement et la cœnesthesie sont également sollicités par la sculpture qui nous apparaît sous divers aspects au fur et à mesure de nos déplacements autour d’elle. De même, des modifications ( naturelles ou non) de son éclairage nous la font apparaître sous des aspects aussi variés qu’inattendus.

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Thème par Anders Norén